L’anarchisme se trouverait-il condamné à être éternellement oppositionnel sans parvenir, non pas, bien sûr, à imposer, mais à implanter son projet de société ? Faut-il penser que les idées libertaires se confineraient surtout à la formulation de critiques aiguës contre la tragique comédie du pouvoir ? Les influences exercées par le courant antiautoritaire seraient-elles surtout secondaires ? L’anarchisme se limiterait-il seulement à n’être que philosophie et éthique personnelles ? (...)
Accueil > Mots-clés > Auteur > Michel Froidevaux