Consacré principalement à l’alliance du sabre et du goupillon, ce troisième volume s’intéresse aussi à la guerre considérée comme remède universel, et à cette vermine particulièrement répugnante : le déserteur, le lâche, le fuyard, le traître à la Patrie !
Des centaines de textes et d’images qui constituent une mosaïque drôle et sinistre de ces conneries qui poussent les êtres humains à marcher au pas et à s’entre-tuer.
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Jacques Tardi
Articles
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Anthologie illustrée de la connerie militariste d’expression française | Volume 3
15 décembre 2007 -
Des lendemains qui saignent
13 mars 2010Domique Grange interprète : Petits morts du mois d’Août (D. Grange), Le ravin des enfants perdus (D. Grange), La chanson de Craonne (anonyme), Laisse-moi passer, sentinelle !(D. Grange), La butte rouge (Monthéus), O Gorizia (Combattants anonymes du front italien), La grève des mères (Monthéus), Tu n’en reviendras pas (Aragon / Ferré), Le déserteur (Vian), Fraternité (Sébastien Faure).
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Le Cri du peuple
6 avril 2012A travers la superbe adaptation par Jacques Tardi du roman de Jean Vautrin, l’histoire de la Commune de Paris, les grands espoirs qu’elle a suscités et la terrible répression qui s’est abattue sur les communards lors de la Semaine sanglante.
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Adèle Blanc-sec - Le Labyrinthe infernal
5 janvier 2008La suite des rocambolesquesaventures d’Adèle Blanc-sec, qu’oncroyait retraitée… Avec toujours enfond les rues de Paris, et cette foisen guest star le Minotaure. Si si.
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1968-2008 : n’effacez pas nos traces !
20 mai 2008Grève illimité, Chacun de vous est concerné, La Commune est en lutte, Les Rivières souterraines, Les Nouveaux Partisans... 15 titres réenregistrés par Dominique Grange avec des musiciens de talent, et illustrés dans l’album par Jacques Tardi. Toujours rebelles, toujours debout !
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Chacun de vous est concerné
7 juin 2018Un vinyle de 11 chansons écrites et interprétées par Dominique Grange, sur des arrangements du groupe Accordzéâm, accompagné d’un livre grand format illustré par Tardi, autour des luttes de Mai 68 à celles de 2018.
Aujourd’hui, plus que jamais, on a raison de se révolter ! Car la colère est toujours là et l’esprit de résistance demeure bien vivant.
« C’est ce que nous voulons dire avec ce livre-vinyle. En montrant, par les dessins de Tardi et les textes écrits ensemble pour accompagner (...) -
20 ans en Mai 1871
15 septembre 2023, par LibraireSur l’avenue de la Chapelle du cimetière du Père-Lachaise s’élève l’imposant mausolée d’Adolphe Thiers. Premier président de la IIIe République, il restera comme celui qui, en mai 1871, organisa la sanglante répression des communards.
Ici, le personnage de Tardi avait 20 ans en mai 1871 et, au crépuscule de sa vie, il entreprend un dernier voyage pour dire, une fois encore, sa rage intacte de communard.
Avoir 20 ans en 1871 à Paris, c’est avoir connu les terribles combats de la Semaine (...) -
Le Dernier Assaut
16 octobre 2016Mathurin Broutille, brancardier de son état égaré entre les lignes de front, enchaînent les rencontres toutes plus désagréables les unes que les autres... Du capitaine raciste de La Coloniale aux soldats « nains » du roi d’Angleterre, en passant par les effroyables trouvailles technologiques des Huns... Tout le monde en prend pour son grade ! Ça ne serait pas aussi effroyable, on en rirait presque. Mais Tardi, passionné depuis plus de 30 ans par ce qui est devenu son sujet de prédilection, (...)
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Le Cri du peuple - Intégrale (Nouvelle édition 2021)
4 mars 20217 mars 1871, il neige sur Paris. Dans la Seine, on recueille le cadavre d’une femme. Dans sa main, énigmatique, un œil de verre portant le numéro 13. Le commissaire du quartier lance l’enquête. Pourtant, ce n’est pas l’affaire de la noyée du Pont de l’Alma qui l’inquiète le plus, mais plutôt le vent de révolte qu’on sent gronder dans les quartiers populaires…
Adapté du célèbre roman de Jean Vautrin, Le Cri de peuple est, au-delà de l’enquête policière et de la formidable gouaille de ses (...) -
Putain de guerre !
1er décembre 2008« Du fond de nos tombes, on a compris qu’on était là pour un long moment. Les Alboches n’étaient pas décidés à rentrer chez eux et on était encore assez loin de Berlin. Pour Noël, la trêve a tourné à la fraternisation, surtout entre les Anglais et les Allemands. Ça partait d’un bon sentiment. Quelques heures à s’échanger des clopes et des bonbons, avant de retourner chacun dans son trou pour recommencer à s’entre-tuer. Moi, tout ce que je comprenais, c’est qu’on s’installait dans la guerre. »