« Assurément je nie la grande féodalité des nations, aussi bien celle du Moyen-Âge que celle du siècle présent ; je nie la féodalité nobiliaire et la féodalité industrielle ; je nie la féodalité des États, et pourquoi ? Sans doute parce que je suis fédéraliste. »
Édité peu de temps avant la mort de l’auteur, cet écrit est le premier - et demeure le principal - de ceux qui ont envisagé le fédéralisme non pas seulement comme un dépassement des souverainetés, mais comme principe général, (...)
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Éditions TOPS / H. Trinquier
Articles
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Du Principe Fédératif
15 décembre 2009 -
Espagne libertaire (1936-1939)
22 juillet 2010La guerre d’Espagne a fait l’objet de nombreux ouvrages. Peu, en revanche, décrivent les réalisations concrètes des révolutionnaires : les collectivisations autogestionnaires, la socialisation des services publics, de la médecine... C’est ce à quoi s’attache G.Leval.
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La conquête du pain
29 janvier 2010« La misère fut la cause première des richesses. Ce fut elle qui créa le premier capitaliste. Car, avant d’accumuler la plus-value dont on aime tant à causer, encore fallait-il qu’il y eût des misérables qui consentissent à vendre leur force de travail pour ne pas mourir de faim. C’est la misère qui a fait les riches. »
Articles de presse recueillis pas Élisée Reclus et qui font de Kropotkine un des principaux théoriciens du communisme anarchiste. -
La vie ardente et intrépide de Louise Michel
10 février 2010Il y a un siècle, deux cent mille personnes suivaient le corbillard de dernière classe de celle que le peuple avait surnommée la Vierge Rouge. La vie ardente et intrépide de Louise Michel demeure sans doute sa meilleure biographie.
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Quelques écrits
22 juillet 2010Ouvrier graveur, il représenta la section de Sonvillier dès le premier congrès de l’A.I.T., en 1866. Militant anti-autoritaire, « il avait un don étonnant, nous dit Kropotkine, pour démêler les plus difficiles problèmes d’économie ou de politique, qu’il exposait, du point de vue de l’ouvrier, sans rien leur enlever de leur sens le plus profond. » Son ami James Guillaume a réuni dans ce volume ses principaux écrits.
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Propos subversifs (1921)
6 décembre 2009"L’anarchiste se distingue et se sépare de tous parce qu’il ne veut être ni maître ni esclave. il ne veut pas s’incliner mais il ne veut pas que les autres s’inclinent devant lui. (...)Il admet cette formule merveilleuse qui inspirera probablement l’humanité future : Ni maître ni esclave."
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Les conflits dans l’Internationale
10 février 2010Dans la Ire Internationale, Bakounine s’opposa à la conception autoritaire et étatique de Marx.
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De la création de l’ordre dans l’humanité - Tome 2
10 janvier 2010"Ainsi, comme critérium de certitude, la théorie sérielle est la fin de la philosophie et l’abolition de la foi religieuse ; comme norme du travail, de la science et de l’industrie, elle est la mesure et le niveau des intelligences."Après avoir rejeté les méthodes de raisonnement religieuse et philosophique, Proudhon ébauche sa dialectique. Oeuvre de jeunesse, l’ouvrage comporte bien des imperfections mais n’en place pas moins son auteur comme le principal fondateur de la sociologie moderne.
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L’Éthique
29 janvier 2010Histoire de l’Éthique (de la préhistoire à nos jours), et critique des théories formulées, L’Éthique démontre que la morale élémentaire nous conduit aux notions de justice et d’égalité.
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Les Confessions d’un Révolutionnaire
11 janvier 2010« Il faut avoir vécu dans cet isoloir qu’on appelle une Assemblée nationale, pour concevoir comment les hommes qui ignorent le plus complètement l’état d’un pays sont presque toujours ceux qui le représentent. »
Écrit en prison en 1849, Proudhon analyse l’histoire de la révolution, de 1789 à juin 1848 et définit les grandes orientations que, selon lui, elle devrait prendre. Il revient sur les évènements de juin et son action de député ; sur son blâme à la quasi unanimité de ses collègues (...)