Lecteur de Kropotkine et de Jean Grave, ami de Mirbeau et de Fénéon, Pissarro se fait ici le continuateur de Daumier et se rapproche de Steinlen, Vallotton, Luce comme du Zola de L’Assommoir. Pour autant il accorde avec cette inspiration populiste et pamphlétaire la virtuosité de ses traits, dans le souci absolu de sa liberté d’artiste.
"Y a-t-il un art anarchiste ? Oui ? Décidément, ils ne comprennent pas. Tous les arts sont anarchistes - quand c’est beau et bien ! Voilà, ce que j’en (...)
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