Anonyme
Abrégé de la vie de Louis Mandrin, chef de contrebandiers en France
Article mis en ligne le 24 octobre 2011
dernière modification le 7 juillet 2019
« On ne doit pas mettre au nombre des frivolités l’histoire abrégée d’un jeune homme de vingt-neuf ans, qui a trouvé le secret de rendre sa vie aussi intéressante, que sa mort a été célèbre. Dès que Mandrin fut en état de porter le mousquet, il prit parti dans les troupes. Ses espiègleries rusées lui avaient fait donner le sobriquet de Renard au village ; il se donna le surnom de Belle-humeur dans le régiment. »