Pierre-Joseph Proudhon
Du Principe Fédératif
Pierre-Joseph Proudhon
Article mis en ligne le 15 décembre 2009
dernière modification le 11 juillet 2019
« Assurément je nie la grande féodalité des nations, aussi bien celle du Moyen-Âge que celle du siècle présent ; je nie la féodalité nobiliaire et la féodalité industrielle ; je nie la féodalité des États, et pourquoi ? Sans doute parce que je suis fédéraliste. »
Édité peu de temps avant la mort de l’auteur, cet écrit est le premier - et demeure le principal - de ceux qui ont envisagé le fédéralisme non pas seulement comme un dépassement des souverainetés, mais comme principe général, global et révolutionnaire, d’organisation des sociétés.