Label Cité (Ça marque)
Bruno Deiana
Article mis en ligne le 3 septembre 2018
dernière modification le 8 juillet 2019
« Plus jeune, irrespectueux, je volais les livres dans les librairies… (J’aurais pu les chourer chez des gens…) Et il m’est même arrivé de leur taper le tiroir-caisse… Ou de pénétrer à leur insu dans le privé, c’est-à-dire là où se trouve le bureau et peut-être le gros de leurs sous… C’était avant ! Après les avoir lus je les passais, faisais tourner… À mes amis citéens sans jamais penser à les récupérer… »
« L’existence détermine la conscience… Selon ma propre expérience, mon cas citéen… Aussi, à fleur de peau, les nerfs ! J’use de mots cash, vrais, forts, pour exprimer mon blues, mon spleen… Ces maux de tous les jours, maux dits libéraux… Me rendant barjot et faisant de mon stylo une sorte d’arme… De légitime défense. »