Gabriel Chevallier
La Peur
Article mis en ligne le 1er décembre 2008
dernière modification le 24 juin 2019
« Je vais vous dire la grande occupation de la guerre, la seule qui compte : J’AI EU PEUR. » Mobilisé en 1914, blessé en 1915, l’auteur finira pourtant la guerre en 1918 en première ligne. C’est son témoignage qu’il livre ici.