Thierry Metz,
Le Journal d’un manœuvre
Article mis en ligne le 22 décembre 2007
dernière modification le 4 juillet 2019
« Le chef ne fait que dire le chantier. Rien d’autre. Sion l’écoute : où est le monde ? Qu’est-ce qu’on fait ?Comment savoir ? On ne parle de rien, ici. C’estcomme ça tous les jours. » Jour après jour, les menusfait de l’aliénation salariée nous sont contés, auxconfins de la littérature et de la poésie.