Les Murs ont la parole, mai 68
Collectif
Article mis en ligne le 12 décembre 2007
dernière modification le 14 mars 2019
« Civic, indic, flic. Ici finit la liberté » (lycée Louis-le-Grand) ; « La Nature n’a fait ni serviteur ni maître, je ne veux donner ni recevoir de lois » (hall de Sciences Po) ; « SEXE. C’est bien, a dit Mao, mais pas trop souvent. » (Censier).
Des centaines de graffitis politiques ou poétiques apparus sur les murs du printemps 68, rassemblés dans ce petit volume devenu légendaire et réédité en fac similé au format d’origine.