La forêt brûle au cœur de l’Amazonie. Le colibri, on le sait, fait sa part. Mais d’autres animaux ont d’autres réactions.

Très populaire, le conte du colibri est pourtant le plus souvent amputé, passant sous silence d’autres formes d’engagement pour s’en tenir à une bonne conscience à peu de frais.

Après celle de Pierre Rabhi, de Patrick Fischmann, de Sébastien Debande et d’autres, Ernest London propose une nouvelle version, complétant les précédentes, par l’illustration des différents rapports à la nature et l’exploration de différents modes d’action, suggérant notamment de s’en prendre « aux causes plutôt qu’aux conséquences ».